Attentat-suicide en famille : le nouveau visage du djihad

Les 13 et 14 mai 2018, trois lieux de culte chrétiens ont été attaqués par six membres d’une même famille. La première attaque a été menée par les deux fils du couple, âgés de 16 et 18 ans, dans le parking de l’église catholique Sainte-Marie ; la deuxième action a été menée par la mère et les deux filles, âgées de 9 et 12 ans, contre l'église Kristen Indonesia Diponegoro ; enfin le père s’en est pris à une église pentecôtiste.

En tout, 11 personnes ont péri et 41 ont été blessées dans les différentes attaques conduites par ces fous d'Allah.

L’agence AsiaNews a relayé, le 15 mai suivant, la réaction de l’archevêque de Djakarta. Pour lui, « le fait pour des parents de planifier et mettre en œuvre un attentat-suicide, en emmenant leurs enfants avec eux, constitue une forme nouvelle de violence ».

Quelques heures après ces attentats, trois membres d’une même famille se sont fait exploser accidentellement, alors qu’ils préparaient une action similaire. Comme si déjà la première famille fanatisée avait commencé de faire des émules.

De tels comportements, si contraires à la vérité de l'Evangile qui recommande de donner sa vie pour ses frères – et non de la leur enlever – et de souffrir le martyre pour la foi en Jésus-Christ – et non de semer la terreur – montrent une fois de plus la fausseté de l'Islam et le fanatisme de son pseudo-prophète.